C’est à Forest-lez-Bruxelles que Georges Minne découvre son thème préféré : “l’Agenouillé”, adolescent nu, introverti, agenouillé, tête inclinée, fragile et isolé du monde. Ce thème sera récurrent tout au long de son œuvre.
La sculpture trône en bas de l’escalier, conçu autour d’elle.
André Willequet suit les cours de sculpture monumentale à La Cambre. En 1947, il reçoit le second prix de Rome. Ses sources d’inspiration sont le corps, le couple, la maternité, et son matériau de prédilection, à l’époque, est la pierre.
Dès les années 50, l’artiste travaille le bois. Dès le moment où André Willequet prend conscience de l’importance du vide en tant que volume, il cherchera à illustrer cette relation entre le vide et le plein. Quelques années plus tard, il découvre la cire perdue, technique utilisée pour les sculptures du Labyrinthe de René Pechère (1908-2003).
Les Van Buuren font preuve d’originalité en demandant à Jaap Gidding d’imaginer un grand vitrail aux motifs géométriques sur le premier palier. Les couleurs chaudes ponctuées d’une touche verte laissent pénétrer la lumière différemment selon le moment de la journée. Le vitrail fait partie intégrante de la maison conçue comme une œuvre d’art totale.
Pour explorer l’intégralité de notre inventaire, nous vous invitons à visiter notre page dédiée sur le site du patrimoine bruxellois.
Vous y trouverez une vue détaillée de chaque œuvre ainsi que des informations complémentaires sur les artistes qui ont contribué à façonner notre collection.
